Le vrai site Traque Traces est ailleurs désormais
Une seule adresse : http://www.petiteracine.net/traquetraces A tout de suite...
Carnet de bord d'ateliers d'écriture menés au Lycée Henri Wallon d'Aubervilliers
Une seule adresse : http://www.petiteracine.net/traquetraces A tout de suite...
Ce site semble en sommeil. C'est que la suite se construit, ailleurs. Patience, donc. Et pour suivre, en attendant, deux adresses : Le blog Petite Racine. Le site Remue.net, qui m'accueille pour rendre compte régulièrement de cette résidence d'écritu...
Un personnage ne sait pas rester seul. Il a suffit que soit posée cette question, raconter quelque chose qui arrive au personnage, pour qu'avec une très grande force multiplicatrice, les 21 personnages de départ (16 en lice en fait ce jour là) en générent...
De chacun de nous ce qui officiellement se sait, se dit, s'affiche : un prénom, un nom, une situation. Pour chacun des personnages créés dans cet atelier d'écriture ce sera pareil. Le nom sera échu au hasard parmi les 200 patronymes les plus répandus...
Consigne d’écriture à la fin d’un atelier : écrire sur papier libre 2 séries de nombres, avec seulement, en haut à gauche, le nom et prénom de l’élève. Sans plus d’explication. Les deux séries de nombres devaient être ainsi construites : Série A : 1-...
Nos fenêtres, nous sommes seuls à pouvoir les ouvrir. Regarder le monde de sa fenêtre, pour faire les premiers cadrages, découper un morceau de réel, le considérer du coup pas si subi que cela, voir ce qui entre du monde dans notre intérieur... Après...
Textes rédigés selon la consigne "lever le rideau" La photo provient d'une série, Aubervilliers vu par Sabrina Sans même avoir besoin d’ouvrir Ma fenêtre n’est pas le lieu où je passe le plus de temps, de même pour mon balcon. Ma fenêtre ne peut s’ouvrir...
Ma fenêtre est une porte. Ma porte est vitrée, c’est par là que je rentre et sors, c’est par là aussi que sort mon regard quand je suis assise chez moi, que je cherche l’extérieur depuis mon intérieur. Quand mon regard sort, s’il n’est pas fort ce jour...
Deuxième proposition de cet atelier : à partir de l'inventaire de mon sac, j'ai demandé à chacun d'écrire ce qu'il imaginait de moi, de dire, en somme, quelle sorte de chameau j'étais. Ce texte, à peine retravaillé, est une compilation de ces remarques...
La consigne était simple, risquée pour tout le monde pourtant : déballer son sac, en faire un inventaire précis, comme si ce qui était dedans nous était étranger, et qu'on le décrivait à une personne aveugle. Voir son propre intérieur comme un déballage....